CHIMIE : l’État n’apportera pas son soutien à Vencorex
Le Premier ministre François Bayrou a refusé les solutions proposées par les collectivités locales, comme la nationalisation temporaire, pour tenter de sauver VENCOREX / T : 04.26.22.38.05 (siège social à Saint-Priest/Rhône, 500 salariés), société qui développe des technologies de pointe utilisées dans la production de polyuréthanes destinés à des fabricants de vernis et peintures spéciaux, qui possède une plateforme chimique au Pont-de-Claix (Isère), en redressement judiciaire. Le Premier ministre a rappelé que "malgré les efforts déployés par l’administrateur judiciaire et les services de l’État […], Vencorex n’a reçu qu’une seule offre de reprise." En l’occurrence, celle d’une filiale hongroise de son principal concurrent, le groupe chinois Wanhua, qui ne conserverait que 54 emplois sur les 450 de l’usine située à Pont-de-Claix. La décision du Tribunal de commerce de Lyon sur l’avenir de Vencorex devrait être connue le 6 mars. www.vencorex.com